Nous sommes les jeunes filles d’aujourd’hui et les femmes de demain.

Et en qualité de femmes, nous avons notre mot à dire.

Premières concernées par l’adoption de la GPA, nous voulons être entendues dans un débat qui ne saurait prétendre se faire sans nous.

 

Nous sommes capables de porter la vie, de l’accueillir avec amour. 

C’est au nom de cet amour que nous prétendons agir, en nous faisant les défenseures de ces droits de l’enfant que le monde semble avoir oubliés.

 

Mais nous ne sommes pas, et nous ne voulons pas être, ces prestataires futures d’un marché de l’enfant à naître, priées de se taire et d’accepter.

A travers ce site, les réseaux sociaux et des actions dans la rue, nous voulons exprimer notre refus absolu de la GPA, esclavagisme moderne.

 

Nous ne sommes pas des corps qu’on peut louer pour de l’argent, au nom de l’égalité, du droit à l'enfant. 

Aucun motif, aussi louable puisse-t-il sembler, ne devrait pouvoir permettre le commerce d’un corps de femme.

 

Nous ne sommes pas des pièces détachées à vendre, nous réfusons de séparer un enfant de sa mère, la femme qui l'a porté.

La dignité de la femme et plus particulièrement de la femme enceinte doit être respectée. Nous voulons la défendre !

 

Le triomphe du mal, c’est l’inaction des hommes de bien, comme des femmes qui les ont portés.

 

Nous sommes les porteuses !